« Il y a 10 ans, le car sharing en entreprise, c’était une réceptionniste qui conservait les clés des véhicules et tenait à jour une liste des employés et de leurs utilisations. Avouons-le, ce n’était pas très pratique puisqu’on dépendait d’une personne et des heures de bureau de son entreprise », reconnaît Philippe Kahn, Mobility Solution Expert d’Arval. Aujourd’hui, le processus s’est entièrement digitalisé et l’offre est devenue beaucoup plus flexible et user-friendly. »
L’offre Arval Car Sharing se déploie dorénavant sous la forme d’une app sur smartphone pour les utilisateurs et d’une plateforme online pour le fleet manager. « L’utilisation est on ne peut plus simple ! Une fois l’application installée sur son smartphone, l’utilisateur peut facilement planifier sa prochaine session de car sharing ou prendre directement un véhicule disponible sur le parking de son entreprise. »
Simple comme bonjour
Pour que l’Arval Car Sharing puisse fonctionner, un petit boitier doit-être installé dans le véhicule afin de le connecter au système. « Notre système est compatible avec la majorité des véhicules les plus populaires du marché », précise Philippe Kahn, qui ajoute que les véhicules utilitaires légers peuvent aussi être intégrés. « Si un client dispose en masse d’un modèle qui n’est pas encore compatible, nous ferons le nécessaire pour l’intégrer également dans le système ».
Si l’entreprise dispose de plusieurs types de véhicules disponibles en car-sharing, c’est l’app elle-même qui va déterminer le véhicule qui correspond le mieux aux besoins de l’employé. Il n’a ensuite, plus qu’à valider ce choix dans l’app, se rendre sur la zone du parking de son entreprise dédiée aux voitures de car-sharing et déverrouiller le véhicule en question grâce à l’app sur son smartphone. »
Avant de prendre le volant, le conducteur devra s’assurer de l’état du véhicule et indiquer les éventuels dégâts non renseignés dans l’app. A la fin de son trajet, il devra également faire le tour du véhicule et déclarer les éventuels nouveaux dégâts survenus en cours d’usage. La politique de gestion et de paiement des dégâts est gérée directement par l’entreprise et peut donc être propre à celle-ci.
De son côté, l’employeur peut gérer toute sa politique de voitures partagées via la plateforme. « Il peut attribuer des types de véhicules et des budgets individuels à ses collaborateurs, traiter certaines interventions de façon manuelle, décider d’ouvrir le système uniquement à certains employés ou à tous, y compris ceux qui n’ont pas de voiture de société. Bref, tout est paramétrable sur mesure pour l’entreprise. Et tout cela, en ayant en permanence un œil sur le TCM (Total Cost of Mobility) de sa flotte ».
Parfait dans un budget de mobilité
Évidemment, cette offre de car sharing entre parfaitement dans un budget de mobilité. « En tant qu’employé, vous pouvez renoncer à votre voiture de société et utiliser le budget notamment pour louer une voiture en car-sharing lorsque vous en avez besoin. Et dans ce cas-là, autant la prendre directement auprès de son employeur, qui la proposera à un prix conforme au reste du marché. Il ne paiera en plus pas d’ATN. Pour l’employeur, c’est avantageux aussi puisqu’il va pouvoir amortir le coût de ses véhicules, faire rouler des véhicules de pool qui stagnent trop souvent sur le parking ou encore donner une seconde vie à un véhicule de société d’un employé qui a quitté l’entreprise et qui n’a pas été réattribué. »