Le ‘vélo de société’ est-il l’arme secrète contre les embouteillages? Selon une enquête de Lease a Bike, cela y ressemble beaucoup! Près d’un quart des travailleurs (24%) envisageraient de passer moins de temps au volant s’ils pouvaient obtenir le ‘vélo de leurs rêves’ par l’intermédiaire de leur employeur. Aujourd’hui, ce n’est le cas que pour 13,9% des travailleurs. Plus de 4 salariés sur 10 (43%) indiquent que leur employeur ne serait pas du tout ouvert à l’idée s’ils introduisaient une demande en ce sens. Seules 19,8% des personnes interrogées jugent que leur patron serait prêt à l’accepter et elles sont 37,2% à laisser ce sujet sans réponse. La réticence des employeurs viendrait d’abord du coût engendré (28,2%), de la procédure à mettre en œuvre (15,4%) et du fait qu’ils ne connaissent pas le concept de ‘vélo de société’ (9,5%).
On pense aussi très – trop – souvent que le leasing de vélos est uniquement possible quand on travaille pour une grande entreprise (40,7%). C’est inexact: la formule peut parfaitement être mise en place dans une toute petite PME.
“Non, le leasing de vélos ne coûte pas cher. Mieux encore, cela peut de faire sans frais de départ pour l’employeur ET ce dernier offre un chouette cadeau à ses employés. Le leasing d’un vélo leur coûte jusqu’à presque la moitié de ce qu’ils auraient dû payer s’ils l’avaient acheté eux-mêmes et, au terme du leasing, ils pourront l’acquérir définitivement pour un montant réduit. Ce sont là également d’importantes raisons qui expliquent l’engouement en faveur du leasing de vélos au cours de cette année et pourquoi de plus en plus d’employés préfèrent un ‘vélo de société’ à une voiture de société,” explique Jaouad Auragh, porte-parole de Lease a Bike. “Et si cela permet en outre de réduire les problèmes d’embouteillages, c’est un plus.”
Méthodologie
Enquête menée en ligne par le bureau iVOX à la demande de Lease a Bike. 1.000 travailleurs belges (plus spécifiquement des ouvriers, employés, fonctionnaires et cadres moyens et supérieurs), représentatifs en termes de langue, de sexe, d’âge et de niveau d’éducation ont été interrogés entre le 19 et le 27 juillet. La marge d’erreur maximale sur 1.000 travailleurs belges est de 3,02%.