Lors du link2fleet ZE Experience Event, le 13 juin dernier, l’institut Vias communiquait quelques chiffres intéressants concernant les coûts de réparation automobile. Sans surprise, ceux-ci sont en augmentation, comme le confirment tous les acteurs du secteur. Les raisons sont multiples.
Tout d’abord, les voitures sont devenues globalement plus chères. Il en va donc de même pour les pièces de remplacement, surtout quand elles sont liées à des capteurs et autres caméras nécessaires pour le bon fonctionnement des systèmes d’aide à la conduite. Les coûts du personnel qui répare les véhicules ont également augmenté. Les voitures devenant de plus en plus électrifiées et technologiques, ce personnel doit également être formé pour s’adapter à ces nouvelles technologies. Tout ça se répercute indiscutablement sur la facture des réparations…
Les voitures électriques sont-elles plus chères à réparer ?
Dans notre secteur, les VE sont de plus en plus nombreux. Par rapport à un véhicule à moteur thermique comparable, un véhicule électrique sera, d’après différentes enquêtes, entre 10 et 30% plus cher à réparer. Ces véhicules nécessitent une main d’œuvre qualifiée spécifique, au prix horaire plus élevé. De plus, un VE nécessite parfois des travaux supplémentaires qui gonflent encore la facture, comme la mise hors tension du véhicule. Enfin, pour tenter de garder un poids raisonnable pour leurs modèles électriques, les constructeurs de VE font appel à des matériaux légers hautement technologiques, qui coûtent également plus cher.
Comment réduire la sinistralité ?
Heureusement, les voitures neuves sont de plus en plus sûres, avec de plus en plus d’assistances à la conduite. Ces assistances peuvent diminuer les risques d’accident jusqu’à 40%. Encore faut-il les comprendre, les utiliser correctement et, surtout, connaître leurs limites.
Ce sujet sera abordé dans notre prochain webinaire « Sécurité et mobilité : réduisez les risques et optimisez le TCO ». Cliquez sur le banner ci-dessous pour y assister gratuitement.