- A quel point le parc automobile belge s’est-il développé au cours des dernières décennies ?
- Quel impact le glissement de la motorisation diesel vers d’autres motorisations a-t-il eu sur la consommation de carburant ?
- Quelle est la place de la Belgique s’agissant de son marché de véhicules par rapport à ses pays limitrophes ?
- Belgique, terre d’assemblage de véhicules, est-ce toujours bien d’actualité ?
- Comment évoluent les dépenses en transport des Belges et quelle part consacrent-ils à leur mobilité individuelle ?
- Quel développement ont connu les infrastructures de transport en Belgique ?
- Clé de la mobilité de demain, l’infrastructure d’approvisionnement en carburant et en énergie se développe-t-elle en phase avec et en anticipant les motorisations de demain ?
- Quelle est la part modale de l’automobile dans les déplacements des Belges ?
- Quelle est la trajectoire de réduction en matière d’émissions de NOx et particules fines en Belgique ?
Toutes ces questions et bien d’autres encore trouvent leurs réponses dans l’Automotive Pocket Guide. Cet ouvrage de 72 pages, qui est dévoilé aujourd’hui par la Fédération Belge de l’Automo- bile et du Cycle, propose un subtil mélange d’informations factuelles chiffrées et de brèves ana- lyses qui permettent de comprendre en un coup d’œil l’évolution et les tendances de la mobilité en Belgique au cours de la première partie du 21e siècle.
Parmi les tendances soulignées par l’Automotive Pocket Guide, notons notamment celles-ci :
- En Belgique, plus de 8 voitures sur 10 sont immatriculées au nom d’une personne physique
- Avec 4.000 euros par an, le transport est le troisième poste de dépenses d’un ménage, après le logement et l’alimentation.
- 90% des dépenses de transport des ménages vont à l’utilisation de moyens de transport individuels.
- Plus de 4 ménages sur 5 possèdent aujourd’hui au moins une voiture tandis que 8% des ménages possèdent une moto et/ou un cyclomoteur.
- On compte en Belgique 29 chargeurs électriques rapides par 1.000 km2 et 70 chargeurs lents accessibles au public pour 100.000 habitants, soit 5 à 6 fois moins qu’aux Pays-Bas.
- Les émissions moyennes de NOx du trafic routier ont diminué de 37,3% entre 2010 et 2018. Ce recul est plus rapide que la diminution globale des émissions de NOxdurant cette même période : 30,3%.
- Les émissions moyennes de particules fines (PM2,5) du trafic routier ont diminué de 51,6% entre 2010 et 2018. Ce recul est également plus rapide que la diminution globale des émissions de particules fines (PM2,5) durant cette même période : 31%.
Découvrez le guide complet ici.