Subaru est un constructeur qui s’en tient à son savoir-faire. Autrement dit, à des moteurs à combustion avec une architecture boxer (cylindres disposés à plat, en opposition), et les quatre roues motrices permanentes et symétriques. Deux caractéristiques techniques qui ont leurs avantages dans de nombreux domaines, notamment le comportement routier et la sécurité, mais malheureusement pas pour la consommation et les émissions de CO2. Dès lors, pour la fiscalité dans nos contrées, la marque japonaise ne se retrouve pas souvent dans les car policies.
À moins, bien sûr, si on évoque le Solterra dérivé du Toyota bZ4x. Toutefois, ce BEV sera rejoint dans les années à venir par sept nouveaux SUV entièrement électriques, dont trois seront introduits dès la fin de 2026. Il est donc clair que Subaru prévoit de revendiquer une plus grande part du gâteau sur le secteur fleet dans un avenir proche. En fait, d’ici 2030, le constructeur veut vendre deux fois plus de voitures qu’aujourd’hui, dont la moitié entièrement électriques.