Julie Engelborghs est la nouvelle directrice marketing de Nissan Benelux
Importateurs et constructeurs
“L’E-Transit représente un pas de géant pour les opérateurs de flotte. Son groupe motopropulseur purement électrique, ses capacités sans compromis et l’écosystème intégré et solidaire de Ford Pro™ vont rationaliser les opérations des clients et faire passer leur productivité à un niveau supérieur lorsqu’ils passeront à des flottes de véhicules purement électriques », déclare Hans Schep, directeur général de Ford Pro™ Europe.
Le véhicule se prête à un large éventail d’utilisations grâce à la capacité de sa batterie de 68 kWh, qui lui permet d’avoir une autonomie allant jusqu’à 317 kilomètres en cycle WLTP. Soit mieux que la plupart de ses concurrents.
Les capacités typiques du Transit sont assurées par le puissant moteur avec un couple maximal de 430 Nm et une puissance maximale de 135 kW ou 198 kW. La charge utile du fourgon peut atteindre 1.758 kg. La gamme complète comprend un total de 25 versions, allant des fourgons à simple et double cabine à, dans une prochaine phase, le châssis-cabine avec plusieurs longueurs et hauteurs de toit et des versions MTM de 3,5 à 4,25 tonnes. L’E-Transit est également doté de la fonction unique ProPower Onboard de Ford, qui fournit jusqu’à 2,3 kW de puissance dans la cabine et l’espace de chargement pour les onduleurs et les équipements utilisés sur le chantier.
Neutralité carbone d’ici à 2035
L’E-Transit n’est que le début d’une vaste offensive d’électrification. Le tout nouveau fourgon Transit Custom d’une capacité de charge d’une tonne et le Tourneo Custom polyvalent arriveront en 2023, tandis que la nouvelle génération de la fourgonnette Transit Courier plus petite et le Tourneo Courier polyvalent suivront en 2024.
De plus, Ford a l’intention de construire, avec ses partenaires constructeurs, l’une des plus grandes usines de batteries pour véhicules utilitaires légers d’Europe.
Ces initiatives aideront Ford à atteindre le niveau zéro émission pour toutes les ventes de véhicules d’ici à 2035 et la neutralité carbone pour l’ensemble de l’empreinte écologique de ses sites européens, de sa logistique et de ses fournisseurs.
