Jaguar se redéfinit avec une nouvelle image de marque audacieuse
Importateurs et constructeurs
« Aujourd’hui est le jour que nous attendions tous. Ce qui a débuté comme une simple conversation autour d’un repas avec les cinq cofondateurs de Lightyear, est aujourd’hui une réalité. Nous avons toujours été portés par le rêve de construire la voiture la plus durable de la planète« , déclare Lex Hoefsloot, cofondateur et CEO de Lightyear. « En 2016, nous n’avions qu’une idée ; trois ans plus tard, nous avions un prototype. Maintenant, après six ans de tests, d’itérations, de conception, de reconception et d’innombrables obstacles, Lightyear 0 est la preuve que l’impossible est réalité. »
Conduire durant plusieurs mois sans recharger
La Lightyear 0 est équipée de cinq mètres carrés de panneaux solaires brevetés à double courbure, ce qui permet au véhicule de se recharger tout en roulant ou en étant simplement garé à l’extérieur. Dans des conditions optimales, la Lightyear 0 peut de fait s’alimenter en énergie et disposer de 70 kilomètres d’autonomie par jour, en plus de son autonomie WLTP estimée à 625 kilomètres. Grâce à cet apport d’énergie solaire, le véhicule peut atteindre 11 000 kilomètres par an, les utilisateurs qui conduisent une Lightyear 0 pour leurs déplacements quotidiens (estimés à 35 km) peuvent donc rouler pendant des mois, en période estivale, avant d’avoir à se brancher sur un chargeur public ou une prise domestique. Dans des climats plus frais, comme les Pays-Bas, cela représente une autonomie de deux mois sans charge, tandis que cette autonomie peut aller jusqu’à 7 mois en Espagne ou au Portugal.
Aller au-delà des limites
La Lightyear 0 repense l’architecture des voitures électriques. Le véhicule est équipé de quatre moteurs intégrés aux roues qui constituent la chaîne cinématique électrique la plus efficace disponible aujourd’hui. Avec une consommation d’énergie de 10,5 kWh par 100 kilomètres (110 km/h), il s’agit du véhicule électrique le plus efficace. Son coefficient de traînée record, de moins de 0,19, en fait la voiture familiale la plus aérodynamique à ce jour. Outre l’aérodynamisme, la masse de la voiture a également un impact sur son rendement : la Lightyear 0 est une voiture électrique de 5 mètres de long, mais son poids total n’est que de 1 575 kilogrammes. Sur le terrain, les atouts apportés par cette conception sont évidents : à vitesse d’autoroute (110 km/h), la Lightyear 0 peut rouler pendant 560 kilomètres d’affilée.
Pensé pour la nature (humaine)
Depuis sa création, Lightyear a cherché à développer une voiture capable d’éliminer les contraintes auxquelles la planète et les conducteurs font face. Par conséquent, chaque détail de sa conception a été pensé avec le minimalisme, la durabilité et le confort à l’esprit. Le tableau de bord épuré est doté d’un système d’infodivertissement à écran tactile de 10,1 pouces qui permet des mises à jour basées sur le cloud. L’intérieur est composé entièrement de matériaux vegan et d’origine naturelle, tels que des sièges en daim microfibre écologique et des détails en palmier rotin.
Démarrer de 0
La production de la Lightyear 0 devrait commencer cet automne et la première voiture sera livrée dès le mois de novembre. Alors que Lightyear se prépare à mettre les premiers véhicules solaires sur les routes, la société a choisi de présenter officiellement sa première voiture avec un nom qui résonne mieux avec son parcours. La Lightyear 0 a démarré de zéro, d’une page vierge, en développant une toute nouvelle technologie, et elle sera la voiture qui ouvrira la voie à une nouvelle ère de mobilité propre.
Pour introduire cette nouvelle forme de mobilité sur le marché, un maximum de 946 Lightyear 0 seront produites à un coût de 250 000 €, ce qui permettra ensuite de passer au prochain modèle de Lightyear qui est conçu pour une production en grande série à un prix de départ accessible de 30 000 € (production prévue pour la fin 2024 / début 2025). Pour en savoir plus sur la mission de Lightyear et sur la première voiture solaire au monde, rendez-vous sur lightyear.one.
