Sweel, l’app qui automatise le relevé et le paiement de l’indemnité vélo
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« L’offre est très variée et il importe donc de savoir exactement ce que l’on veut », explique Carlos Romao de Lucien Bike à Bruxelles : « La définition du bon vélo est bien sûr très différente d’un individu à l’autre. Que prévoyez-vous de faire à vélo ? Quelle distance parcourez-vous et à quelle fréquence vous rendez-vous au travail à vélo ? Quelle est l’infrastructure sur le chemin du travail ? Pouvez-vous rouler vite sur une piste cyclable, ou devez-vous emprunter à vélo les rues étroites du centre de Bruxelles… ? »
Le vélo électrique a connu une énorme évolution
Cela fait déjà beaucoup de questions et Carlos en a encore d’autres : « Qu’est-ce qui vous plaît ? Souhaitez-vous un vélo le plus léger possible ou plutôt un vélo robuste avec un bac solide capable de supporter un poids élevé (par exemple pour emmener vos enfants à l’école) ? Le marché des vélos électriques a beaucoup évolué ces dix dernières années. Vélos cargos, VTT, vélos de course, vélos urbains, tandems… Presque tous les types de vélos existent désormais aussi en version électrique, dans toutes les tailles et tous les poids. Vous avez le choix entre toutes sortes de batteries et des niveaux d’autonomie différents. C’est d’ailleurs pour cette raison que toutes ces questions ciblées sont si importantes ».
Et le prix ?
« Il est crucial d’opter pour un vélo de qualité. Ce type de vélo coûte peut-être un peu plus cher, mais il y a une différence réelle sur les plans de la mécanique et de la batterie, tout comme pour le service par la suite », explique Carlos.
Combien coûte exactement un vélo répondant à ces critères ? « Tout dépend à nouveau de ce que vous voulez, bien entendu. Un vélo électrique d’entrée de gamme revient à environ 3 000 euros ; pour le milieu de gamme, comptez entre 4 et 5 000 euros ; et un vélo d’exception peut coûter jusqu’à 10 000 euros et plus. Nous remarquons que les familles consacrent plus de budget qu’avant à ce poste, le vélo étant souvent considéré comme une alternative à une deuxième voiture, surtout pour les citadins. En ville, ce n’est pas seulement une question de durabilité et de coût total, mais aussi de commodité : il est beaucoup plus facile de garer un vélo qu’une deuxième voiture. »
Bike Lease : une solution idéale (et rapide)
Quoi qu’il en soit, malgré cet aspect « commodité » et tous les avantages en matière de durabilité, un vélo reste évidemment une dépense non négligeable. Il est donc logique que Bike Lease gagne en popularité ces dernières années. « Certainement », explique Quentin van Meerbeeck, de notre partenaire B2Bike. « Les chiffres d’Arval parlent d’eux-mêmes : en 2023, nous avons observé une augmentation de 20 % par rapport à 2022. »
Le leasing de vélo offre tous les avantages d’un leasing traditionnel. Vous étalez le prix sur une longue période, vous bénéficiez de tarifs all-in avantageux, avec un prélèvement fiscal intéressant sur votre salaire brut, et vous pouvez racheter le vélo à prix modique à la fin du leasing.
Pour votre employeur, tous les frais sont déductibles à 100 %, et ce dernier réalise en plus une économie sur les cotisations sociales et la charge patronale. La commande, la livraison et les assurances sont parfaitement organisées. Si Carlos a le vélo que vous voulez en stock, vous pouvez déjà l’enfourcher deux à trois semaines après votre commande. »
L’entretien est inclus (et important)
Vous bénéficiez en outre d’une assistance 24/7 en Belgique et dans nos pays voisins, mais aussi en Italie et en Espagne. L’entretien et les réparations sont également inclus via une carte d’entretien pratique. Et c’est très utile. « À l’instar d’une voiture, un vélo doit aussi être bien entretenu. Surtout les vélos électriques, souvent encore plus sophistiqués sur le plan mécanique. Il est également essentiel pour la sécurité que les freins et les pneus par exemple soient en parfait état », conclut Carlos.
Arval a lancé son offre Bike Lease en 2018, afin de compléter son offre de mobilité à destination des travailleurs, avec un succès non démenti depuis.
Au cours de l’année écoulée, la flotte de vélos d’Arval a cru de 20%, et de par la généralisation et l’augmentation de l’indemnité kilométrique, ainsi que le développement de nouvelles mesures telles que le budget de mobilité fédéral, les ambitions sont grandes. Fort de notre relation de 5 ans, Arval peut compter sur le réseau étendu ainsi que l’expertise de B2Bike pour offrir à ses clients une offre à la mesure de leurs besoins.
